Résumé :
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Les mutations que connaît le monde aujourd’hui engendrent des conséquences (chômage, exclusion etc.) qui exigent des moyens totalement nouveaux pour rétablir l’équilibre de nos sociétés. Il faut, certes, promouvoir le temps partiel et limiter les heures supplémentaires. Mais il est surtout nécessaire de donner la parole aux chômeurs, de soutenir les créateurs d’activité économique, de promouvoir l’esprit d’initiative, d’inventer d’autres fondements à la protection sociale… En même temps, il faut reconnaître la crise du sens créée par cette situation et l’urgence de choisir de vivre le partage pour sortir du « tout travail » qui empêche l’homme d’améliorer sa qualité de vie. Dans cette démarche chacun doit assumer ses responsabilités. Les Églises, pour leur part, pourraient établir des instances qui s’occupent en priorité des problèmes de chômage et d’emploi.
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