Titre : | L'antispiritualité d'Alexandra David-Neel (2019) |
Auteurs : | Marion Dapsance, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Etudes (4262, juillet 2019) |
Article en page(s) : | p. 75-82 |
Langues: | Français |
Catégories : |
[UNESCO] Bouddhisme |
Résumé : |
Parce qu'elle s'est déclarée bouddhiste, s'est rendue à Lhassa et a beaucoup écrit sur le Tibet, Alexandra David-Neel (1868-1969) passe souvent pour un « maître spirituel », une « mystique », une adepte des religions tibétaines. Pourtant, le bouddhisme auquel elle souscrit est dénué de toute transcendance et de la pratique de rituels. Il doit bien plus à l'influence des théosophes britanniques qu'à celle des maîtres asiatiques.
Plan de l'article Du Carmel à la science, en passant par les sociétés occultes L'influence de l'anarchisme anticlérical Le bouddhisme des Asiatiques ou le bouddhisme des Théosophes ? |