En écoutant les femmes et leur expérience de croyantes on découvre l'Eglise comme un lieu blessé. L'Eglise doit se reconnaître non seulement dans la figure du bon Samaritain, mais aussi dans celle du blessé agonisant. L'Eglise doit se débarrasser de tout ce qui empêche la vie des personnes de s'exprimer. C'est à la conscience de ses blessures et à la capacité d'écouter les histoires de vie qu'est confiée l'Eglise de demain.