Résumé :
|
Décrié comme courant musical indigent et mouvement malsain, le métal connaît maintenant les honneurs de l'expertise académique et d'une exposition à la Philharmonie de Paris. Se distinguant par une puissante énergie, par une forte communion entre groupes et publics, et par une remarquable expansion, ce genre intéresse légitimement. S'il déclenche des controverses, il se révèle plus satirique que satanique, plus provocateur à clin d'oeil que blasphématoire à dessein. Surtout, le métal, dont l'appréciation relève d'abord des goûts et des couleurs, fait du bien à ceux qui l'aiment.
|