Résumé :
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Dans leur cartographie des contrées du malheur qui désorientent et désespèrent, les marins identifient un horizon sur lequel s'appuyer : le cap de Bonne-Espérance. Comme s'il y avait toujours à espérer ; comme s'il ne fallait pas désespérer. Mais, quand on parle d'espérance, s'agit-il d'abord d’éthique, de normes (faut-il ou ne faut-il pas ?), de pratiques de soi (le coaching et ses invitations à "positiver") ou d'une attitude engageant notre e manière d'être, notre rapport à l'autre et au temps ?
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