Résumé :
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L'assemblage des deux termes du titre semble incompatible et conflictuel. Mais en quelques décennies, le paysage a changé dans la mesure où les protagonistes ont revu leurs positions. Si les torts sont partagés, c'est au bibliste de faire les premiers pas, car c'est la lecture de la bible qui a créé le malentendu. En retour, il ose espérer que son interlocuteur acceptera d'engager cette « conversation entre honnêtes gens », comme on disait au XVIIe siècle. Mais un vrai dialogue ne s'instaure que si l'on a bien identifié l'objet du contentieux.
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