Résumé :
|
Il s’agit ici de célibat, écartons d’entrée de jeu certaines questions venues de l’ailleurs. Célibat subi ? Célibat choisi ? Ces interrogations classiques sont bien souvent des pièges. Si elles sont fréquentes, elles n’en naissent pas moins d’un imaginaire qui subrepticement privilégie la voie « choisie » du mariage pour n’accorder qu’une moindre valeur à celles, « subies », des célibats. Subi ? Choisi ? C’est une fausse alternative. Est-il un célibat choisi qui ne soit parfois subi ? Est-il un célibat subi qui ne doive un jour être choisi ?
|